Au gré du réchauffement des températures, ils vont inévitablement connaître des périodes de sécheresse plus intenses et plus nombreuses, être exposés à de nouvelles maladies ou des insectes ravageurs contre lesquels ils sont sans défense. Afin de maximiser la résilience des arbres urbains à ces facteurs de stress et les bienfaits qu’ils procurent, des employés des villes de Varennes, Saint-Lambert et Boucherville, en collaboration avec des chercheurs de l’UQAM et l’UdeM, travaillent sur le projet SylvCit.
À terme, ce projet, soutenu par le Fonds de recherche du Québec Nature et technologies, va déboucher sur la mise au point d’un logiciel qui combine foresterie urbaine, écologie fonctionnelle, santé, économie et intelligence artificielle. En plus de servir à dresser un portrait complet d’une forêt urbaine existante, le logiciel permettra de guider les municipalités dans le choix des espèces d’arbres à replanter aujourd’hui, pour des lendemains meilleurs…
Source : La Relève