Un objectif double, donc qui vise à améliorer l’accès aux produits frais pour les Inukjuamiut, mais aussi à encourager de saines habitudes en matière de nutrition et d’utilisation de l’eau grâce à un programme d’art social.
En effet, les membres de la communauté ont déjà appris, à travers ces activités ludiques d’art social, de nouvelles façons de cuisiner des légumes peu connus tels que le chou kale et le bok choy. D’autre part, ces activités s’inspirent aussi de la culture et de l’art inuit afin de créer des espaces d’apprentissage et d’échange sur les aliments traditionnels. Une tendance qui s’observe ailleurs comme au Nunavut où les aînés voient, dans de telles serres, l’occasion de consolider leur souveraineté alimentaire, notamment en y transplantant leurs précieuses plantes médicinales. Notons en terminant, hydroponie oblige, que la Fondation One Drop s’est associée à la Fondation RBC dans cet investissement communautaire de 2,7 millions de dollars prévu pour quatre ans. À suivre…